Après le PAM, le parti de l’Istiqlal donne son accord pour participer au gouvernement

Après le conseil national du Parti Authenticité et Modernité (PAM), le Conseil national du parti de l’Istiqlal (PI) a aussi donné son aval, samedi, pour participer au prochain gouvernement en réponse à l’offre du chef du gouvernement désigné, Aziz Akhannouch.

Le Conseil national a délégué le secrétaire général du parti, Nizar Baraka, aux côtés des membres du Comité exécutif, pour gérer les négociations relatives au prochain gouvernement, indique un communiqué sanctionnant les travaux de sa session extraordinaire, tenue en mode virtuel.

Il a insisté sur l’impératif de former un gouvernement fort, homogène, solidaire et capable d’opérer le changement auquel aspirent l’ensemble des Marocains.

L’aval donné par le Conseil national intervient en harmonie avec la volonté commune des membre du parti de contribuer à bâtir un Maroc fort, démocratique, moderne et solidaire, d’adhérer à la nouvelle génération des grands chantiers conduits par SM le Roi, de mettre en œuvre le Nouveau modèle de développement et le projet de généralisation de la protection sociale, d’accélérer la régionalisation avancée et de réduire les disparités sociales et spatiales, en plus de promouvoir la classe moyenne.

A l’ouverture des travaux , M. Baraka a indiqué que la convocation du Conseil national en session extraordinaire avait été dictée par la nécessité et les développements urgents liés au lancement des consultations relatives à la formation du nouveau gouvernement, dans la foulée de la rencontre tenue avec M. Akhannouch, lundi dernier, après sa nomination par SM le Roi, chef du gouvernement.

Après le succès du Royaume dans l’organisation des échéances électorales, malgré les contraintes liées à la pandémie et à ses retombées, “nous sommes au prélude d’un horizon politique et institutionnel nouveau, dont nous constituons une partie à part entière par la force des choses et par la force des urnes”, a dit le SG du PI, dont le parti est arrivé troisième avec 81 sièges lors des élections législatives du 8 septembre.

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