Doukkali: Moins de 5% des médicaments présentent un risque de rupture

Le ministre de la Santé, Anas Doukkali, a relativisé le problème de la rupture de certains médicaments, affirmant que sur les quelque 7.000 médicaments  commercialisés au Maroc, moins de 5 % seulement présentent un risque de rupture.

La rupture de certains médicaments est due à plusieurs raisons, notamment les procédures légales relatives au contrôle du stock provisoire des médicaments, a souligné Anas Doukkali, lundi à la Chambres des représentants.

Des facteurs externes de rupture peuvent concerner la société mère et les matières premières concentrées dans trois principaux pays: les États-Unis, la Chine et l’Inde. Pour Anas Doukkali, cette situation peut être surmontée par l’octroi de licences temporaires ou le recours aux marchés publics.